Révélé par un invité d’honneur, Mr Kenji Tomida, Président de la division moto de Kawasaki Heavy Industries, chaque machine reflète l’intention de Kawasaki de répondre au mieux aux besoins de clients Européens exigeants, et ainsi réagir favorablement à un marché complexe en constante évolution.

Pour renforcer cette philosophie, la nouvelle Ninja 650 a fait ses débuts en Europe, et pour la première fois, les médias comme le public ont pu admirer son nouveau cadre en treillis, un moteur bicylindre à refroidissement liquide dont les bas et mi- régimes ont été revus, et le tout sublimé par un style Ninja bien distinct. Réponse élégante et pratique aux besoins de la demande Européenne croissante de personnes s’initiant aux deux roues, ou en transition d’une machine plus ou moins puissante, la nouvelle Ninja 650 offre à la fois performances sportives et polyvalence en ville.

Pour venir compléter la gamme hyper-sport, Kawasaki dévoile une troisième machine dans sa célèbre série de motos à compresseur, la Ninja H2 Carbon, ainsi que des ajouts sur la Ninja H2 et la Ninja H2R.
L’édition Carbon, qui est limitée à 120 exemplaires dans le monde, arborera une tête de fourche en fibre de carbone, un nouveau traitement de peinture et – tout comme la H2 et H2R pour la saison 2017 – une centrale inertielle mesurant 6 aspects du comportement de la machine accompagné par une multitude d’aides au pilotage électroniques telles que la fonction innovante de gestion des virages Kawasaki. De plus, chacune de ces trois machines de série, sera dorénavant équipée d’une technologie mesurant et affichant l’angle d’inclinaison pendant le roulage. 

Pour continuer sur le thème des sportives, une nouvelle machine taillée pour la course fait pour la première fois son apparition. La Ninja ZX-10RR comptera un maximum de 500 unités en Europe et détiendra des caractéristiques spécialement étudiées pour la course, du paddock  jusqu’aux marches du podium. Avec une culasse modifiée prête à accueillir des arbres à cames de courses, une modification du carter pour le rendre plus résistant face aux contraintes de la compétition et un kit optionnel d’accessoires pour ajuster la colonne de direction et le pivot du bras oscillant, la ZX-10RR est d’ores et déjà prédite comme un succès chez les teams Superbike et Superstock.

Avec l'ajout de jantes légères en aluminium forgé spécialement conçues par Marchesini, des étriers et un impressionnant système de freinage Brembo M50, un shifter électronique pour passer ainsi que rétrograder les vitesses , la ZX-10RR attirera les plus exigeants d’entre vous, sur route comme sur piste, et s’avère déjà être un « must-have ».

L’influence Ninja ne s’arrête pas là avec la présentation d’une troisième machine, la très attendue nouvelle version de la Z1000SX. Encore un exemple de machine qui a su créer et dominer une nouvelle catégorie de motos toutes aussi redoutables avec leurs performances sportives comme agréables pour les ballades du week-end. Elle est revue pour sa version 2017.

Travaillant d’arrache-pied pour améliorer ses performances sportives comme ses qualités Tourer, Kawasaki a étudié la SX en détail et a produit une nouvelle machine proposant une accélération revisitée de façon plus douce, plus de protections pour le pilote avec des carénages et une bulle plus larges ainsi qu’une selle conducteur et passager plus confortables.

Des paramètres de suspensions revus, des feux à LED et un indicateur de vitesse qui change de couleur contribuent à améliorer l’allure sportive de la SX, quand son embrayage « Assist and Slipper » et les réglages de suspension arrière en pré-charge simplifient, seul comme à deux, les trajets du quotidien.
 
Mr. Tomida a profité d’Intermot pour rappeler l'engagement de Kawasaki sur le marché européen et a également interpellé l’audience sur les projets de la société pour révolutionner le transport en deux roues via l’introduction de l’IA (intelligence artificielle). Il a déclaré:

Nous examinons la possibilité de donner ce qu’on l’on pourrait appeler une « personnalité » à la moto, qui évoluerai en phase avec son pilote. Utilisant un « Emotion Generation Engine » (générateur d’émotions) et un Natural Language Dialogue System (système de dialogue homme-machine traduisant un langage naturel en langage informatique), la moto contrôlée par l’IA peut comprendre et interpréter l’état émotionnel du pilote et ses intentions.
 
Permettre au pilote et sa machine de communiquer et progresser dans un but commun va ouvrir la voie à des expériences de roulage jusqu’alors sans précédents. L’homme comme la machine pourront s’améliorer mutuellement et progressivement, procurant un tout nouveau genre de plaisir de conduit ».