« Le charme venimeux de la Z1000 opère rapidement : elle parait vous hypnotiser, vous inviter du regard à venir vous mesurer à sa mécanique.»
C’est son commentaire quand il découvre les galbes acérés de la bête. Mais le charme continue d’agir lorsqu’il enfourche la belle : « La Z1000 fait patte de velours au moment de la prise en main. » Mais quand il sollicite plus durement la mécanique, la réponse le comble : « La Z1000 met tout de suite les choses au clair : elle n’est pas là pour faire de la figuration et compte bien tenir les promesses que son look suggère ».
Stéphane apprécie l’homogénéité de la Kawasaki : « Pour calmer tout ça, le freinage ne fait pas de complexe » ou encore : «Le confort est également au rendez-vous ».

Au fur et à mesure que la Z1000 dévoile ses charmes à Stéphane, ce dernier veut en savoir plus : « Il est grand temps d’essorer un peu plus la poignée de gaz. Le moins que l’on puisse dire est que la nouvelle Z 1000 répond présente ». « La Z révèle son caractère dès les mi-régimes. A partir de 4000 tr/mn elle commence à s’éclaircir la voix. A 5000, on sent que l’on réveille un animal féroce et de 7000 jusqu’à la zone rouge, c’est un tourbillon de puissance qui raccourcit considérablement la moindre ligne droite ».
Stéphane plébiscite le moteur : « Il enthousiasme surtout par un vrai caractère ». « On ne se lassa jamais des envolées lyriques du bloc à chaque accélération ».
L’homogénéité continue avec le comportement du châssis parfaitement au niveau des performances de la mécanique : « Mais on attendait aussi la Z coté châssis et là, il faut reconnaître que les verts ne se sont pas loupés ».

Son paragraphe de conclusion commence ainsi : « Elle a tout pour plaire cette Kawa ». Au milieu on trouve : « Avec cette Z1000, Kawasaki marque son retour en force dans la catégorie des gros roadster de caractère. Fun, efficace, bourrée de charme mais aussi facile à vivre au quotidien, la Z a gagné en maturité. Elle se dote désormais d’un comportement sans reproche et d’équipements (freinage, suspensions) de qualité ». Et il conclut ainsi faisant un clin d’œil à l’option « peau de serpent » de la selle : « Je ne sais pas pour vous, mais moi, je vais déjà voir si je ne peux pas trouver des bottes en peau de serpent, assorties à la selle ».

Encore un envouté par les charmes de la nouvelle Z.